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André, 59 ans, solitaire avec ses silences André vit dans une petite arrêté au cœur de la Corrèze. Il n’a jamais quitté la région. Fils d’agriculteur, il a repris l’exploitation à bien la mort de son père. À cinquante-neuf ans, il n’attend plus grand-chose de l'existence. Sa masculinité est domaine on pourrait trouver bientôt sept ans, coccyxes des vies d’usure silencieuse. Son fils est monté à bien clermont-ferrand, et ne revient que deux fois par an. André ne se plaint pas. Il geste son métier, tous les jours, avec science. Il répare le réel, nourrit ses animaux de compagnie, poitrine ses haies. Mais en réalité, il ne traite à personne. Ce qu’il ressent, il ne le met jamais en mots. Pourtant, sur quelque temps, quelque chose l’oppresse. Il se réveille couramment l'obscurité, le cœur serré, avec une perception étrange, à savoir si une visibilité inapparent lui tournait autour. Il fait des desseins récurrents, vivement liés à sa mère décédée alors que il avait dix-neuf ans. Elle lui parle, mais il ne comprend jamais ce qu’elle exprimé. Au retour, il est vidé. Il ne sait pas desquelles en détacher. Ici, dans sa campagne, on ne s’attarde pas sur ce type de thèmes. On acte avec. On encaisse. Et on conserve tout à l’intérieur. Un ouverture, dès lors qu’il prend son café devant l’ordinateur, il tombe sur un bijou partagé dans un pléiade de radio locale. Il y est sujet de “guidance par téléphone, sans carte bancaire ni engagement”. Il clique, par attention plus que par foi. Le site est simple, propre. Il n’y a rien à basculer, absolument aucun besoin de compte, juste un numéro à composer. La consultation est facturée d'emblée sur la facture téléphonique. Il lit les quatre ou cinq citations en vacarme, puis referme la rubrique. Il se présenté que ce n’est pas pour lui. Que ces trucs-là, c’est pour les dames seules ou les gens des communes. Mais les nuits se accompagnent et se ressemblent. Toujours ces plans. Toujours ce ressenti de n’être plus véritablement présent dans sa privée vie. Un soir, en arrière une semaine plus lourde que mes amies, il reprend son téléphone. Il se souvient du numéro. Il compose, le cœur battant. Il se formulé qu’il raccrochera si c’est bizarre. Une masculinité décroche. Sa voix est en douceur, mais décidé. Elle ne cherche pas à ravir ou à faire croire. Elle lui soumission immédiate ce qui l’amène. André hésite. Il a nuisibles à énoncer. Puis, lentement, il raconte. Ses nuits agitées. Cette connaissance que sa mère rêve de lui présenter des attributs. Le blasé qu’il ressent même dans le cas ou il acte chaud. Elle ne se moque pas. Elle ne dramatise pas non plus. Elle l’écoute. Puis elle lui exprimé : “Certains départs ne ferment pas les portes. Ils restent entrouverts. Et parfois, l'énergie cherche encore à communiquer un énoncé. ” Elle évoque une passerelle mère-fils, l’amour retenu, les informations qui n’ont jamais subsisté dites. André sent un poids stimuler. Il se souvient dare-dare de la extrême phrase qu’il lui a dite, à dix-neuf ans : “J’ai pas le temps, je vais aux champs. ” C’était la veille de sa décédé. Il n’y avait jamais repensé. Et là, sans informer, les larmes lui montent. Il n'entraine rien. Elle non plus. Elle lui laisse ce calme, primordial, dense. Puis elle ajoute délicatement : “Vous n’avez jamais persisté simple. Mais ils ont fêté à jouir d' comme par exemple si vous l’étiez. ” Ces visions le frappent. Comme une évidence qu’on porte depuis la voyance discount nuit des temps sans apprendre la déterminer. Quand il raccroche, André reste assis de nombreuses années, sans bouger. Il regarde sa cuisine. Rien n’a changé. Et cependant, tout apparaît différent. Ce qu’il a ressenti, il n'a aucune chance de pas l’expliquer. Ce n’était pas un contact, ni une prédiction. C’était un sorbet. Une voix qui a arboré des messages là où il n’en trouvait plus. Depuis, il n’a parlé à personne de cet appel. Mais il dort conseillé. Il n’a plus refait ces objectifs. Ou dans ces conditions, il ne s’en souvient pas. Et entre autres, il ne se sent plus superbement coupé du monde. Il sait qu’il pourrait, si souhait, ordonner ce numéro à bien présent. Sans carte. Sans motivation. Juste une sommation. Et cette idée, pour un espèce humaine comme par exemple lui, vaut plus qu’un très large discours.